LE PRÉSENT DÉFINITIF
« Poèmes-passages d'un temps passé, des années mille neuf cent quatre-vingt, convertis en présent définitif. Des effleurements, des traces, des glissements, des silences, je fais court pour qu'on puisse me lire lentement en effeuillant la marguerite du temps, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie. »